Personne ne pourra le nier. Depuis l’apparition des objets connectés dans notre quotidien, notre vie a été grandement facilitée, car il est possible d’avoir sur nous, des appareils pour vérifier notre état de santé ou des gadgets pour surveiller notre bébé qui dort à la maison lorsque l’on est de sortie, et ce, sans encombre. Et pourtant, les faits parlent d’eux-mêmes. La sécurité procurée par les objets n’est pas infaillible.
Des chiffres inquiétants
Quatre sur cinq objets connectés feraient, d’après quelques études, l’objet d’inquiétude. En effet, ils ne permettraient pas de protéger correctement les données de l’utilisateur et de se protéger eux-mêmes. Ainsi, la priorité est de développer des solutions afin d’éradiquer ou, à la rigueur, d’atténuer ce problème.
La santé : un secteur très touché
Les objets connectés chargés de veiller à notre santé sont les plus remis en cause, car les tests ont été bâclés, voire non effectués avant l’introduction de ces derniers sur le marché. Cela a été l’une des erreurs des fabricants et des commerçants, car on aurait pu déceler très tôt les imperfections présentes sur ces gadgets. Il est alors nécessaire de mettre à disposition des utilisateurs, des possibilités de mises à jour pour combler les manques.
Des efforts encore insuffisants en France
Même si les startups et les entreprises de longue date françaises croient au bon fonctionnement de leurs objets connectés, des lacunes très flagrantes se font encore noter. Comme les réseaux sociaux et les courriels sont les moyens de communication les plus efficaces, à notre époque, les objets connectés en facilitent grandement l’accès étant donné que l’on peut le faire, n’importe quand et n’importe où (même dans la rue). Néanmoins, les techniciens en informatique de presque toutes les firmes françaises affirment que les fuites d’informations sont des risques permanents. 75 % d’entre eux font part de leurs mésaventures dues aux objets connectés, en affirmant que plus de 60 % des données trop secret ont été inopinément partagées.
Au final, c’est la structure même des objets connectés qui pose problème. Le challenge est désormais de faire face aux possibilités de fuites. Les objets constituent la porte qui mènera vers la place des plus grandes. De ce fait, il est primordial d’axer tous les travaux de recherche sur la manière dont on pourrait « défragiliser » les objets connectés afin de permettre aux entreprises d’accélérer leur travail, en restant, par exemple, au chevet de leurs clients à tout moment.