L’avancée de la technologie continuera à faire des miracles. Mener des recherches simultanées via ordinateurs, tablettes ou autres smartphones ainsi que payer ses factures grâce à internet s’est ancré dans le quotidien de la génération smartphone. Mais aujourd’hui, les jeunes, tout particulièrement les étudiants à la recherche d’un emploi, sont capables de fonder de nouvelles entreprises en raison de leur dynamisme. Kickstarter se révèle alors être une solution miracle.
Les start-ups se répandent comme une poudre blanche en France
Rien de tel que des nouveautés pour embellir sa journée. Les start-ups sont de plus en plus réputés, car ils touchent l’intérêt des jeunes de 18 à 24 ans. Plutôt que de vouloir être médecin ou avocat, les générations X et Z préfèrent se lancer dans l’entrepreneuriat. Sur le marché du travail, on remarque d’ailleurs leur difficulté à obtenir un véritable travail dans l’économie traditionnelle. Mais leur dévolu sur l’entrepreneuriat est compréhensif étant donné que ce sont des « digital natives ». Après tout, la toile et les réseaux sociaux sont plus dans les cordes des jeunes d’aujourd’hui. De plus, se lancer dans l’entrepreneuriat permet d’ouvrir des portes à l’étranger, ce qui est un gage de succès.
Les start-ups : de bons investissements, mais pas sans danger
La création des start-ups met cependant en avant des problèmes de fonds de départ, d’où la nécessité d’effectuer des levées de fonds. Dans cette optique, ils n’hésitent pas à participer à des inaugurations dans le but d’attirer davantage de clients et de promouvoir leurs services. Faire de la publicité est donc primordiale pour ces petites entreprises dans le but de se développer. Auparavant, la création des entités américaines était nécessaire au financement, mais dorénavant, les start-ups françaises savent s’autosuffire. Le 27 mai 2015 en France, une sélection de start-ups françaises ayant reçu des fonds venant des Américains a pris part à l’inauguration de Kickstarter. Dans le but d’appâter les backers, en plus des internautes, une multitude de projets fut présentée. Lors de cette campagne, certaines start-ups, comme Djit ayant lancé son produit Mixfader, objet connecté qui transforme tout type de smartphone en table de mixage, ont connu un franc succès, et ce, en quelques jours seulement. Cette start-up a obtenu 55.500 euros de fonds auprès de plus de 670 contributeurs, alors que son objectif était d’atteindre 55 000 euros. Cet évènement a permis à la plupart des start-ups de décoller, à l’exemple de DAD (Digital Art Device), SensorWake ou encore HeavyM.