Le recours aux AdBlocks constitue encore un sujet de polémique en vogue, en ce moment. Effectivement, si de nombreux internautes approuvent son existence, les vendeurs sont tout autant mécontents. Internet est, pour ces derniers, une plateforme sur laquelle il devrait être libre de présenter ses produits/services sans se faire recaler d’avance par les prospects. Malchance pour eux. Cet article vous fera découvrir qu’il faut mettre sa main dans le portefeuille afin de les contourner.
Un problème non négligeable pour certains
Nous savons pertinemment qu’une partie du chiffre d’affaires des entreprises actuelles est générée par les publicités accompagnant les applications téléchargées sur le Net. C’est aujourd’hui devenu un incontournable pour quiconque souhaite présenter ses produits/services à un public vaste. La téléphonie mobile n’a cessé de prendre de l’importance, cette dernière décennie. Et le secteur est sûrement à sa phase de maturité grâce à l’avènement des smartphones qui inondent le marché international. Normal donc si les professionnels veulent en profiter. Cependant, c’est ce que les AdBlocks leur empêchent de faire. Sur de nombreuses plateformes (ordinateurs et mobiles), les publicités sont volontairement supprimées par leurs utilisateurs.
Les journaux sont les principales victimes de cet engouement. Voilà pourquoi Axel Springer a décidé de mettre au point un bloqueur d’AdBlocks. Autrement dit, ceux qui ne voulaient pas avoir affaire à de la pub devaient débourser de l’argent en contrepartie.
Solution : ne taxer que quelques firmes
Comment en est-on arrivé, là ? Tout cela grâce à un sondage propagé sur le Web. Il fallait donc définir la taille des sociétés qui auraient à payer afin de bloquer les effets des AdBlocks. Si cette politique est adoptée, la balance penchera en faveur des nouvelles entreprises qui voudront se faire connaître sur la toile. Mais au final, plus une entreprise sera puissante, moins elle aura de chances de voir ses pubs adressées aux éventuels consommateurs.