Le Web a été vu comme une nouvelle porte, une nouvelle plateforme destinée, non plus seulement à la recherche scientifique et au tchat, mais aussi aux campagnes publicitaires. Pourtant, pas de changement radical noté. Pourquoi ? Le désintérêt des prospects est toujours aussi important. Du coup, les publicités sur le Net ne font pas vraiment mouche. Voyons cela de plus près !
Toujours le même visage
Il est évident que l’on ne peut pas changer le fond de la publicité : faire un éloge de ses produits afin de faire acheter les clients, alors que c’était clairement le but du digital.En réalité, l’aspect digital ne sert qu’à compléter les canaux de publicité d’antan (télévision, radio, affiche, etc.). Mais qu’il en soit, il demeure un canal incontournable, de nos jours, étant donné que l’effectif des internautes ne cesse de croître.
Qui s’en charge ?
Tout dépend de l’entreprise. Quelques fois, c’est une seule équipe qui se charge à la fois des spots, des affiches et de la pub numérique. Mais la plupart des grandes entreprises ainsi que les agences de pub, telles que BTEC Paris, créent carrément un département/service s’occupant exclusivement du digital. Celui-ci nécessite, en fait, l’intervention d’ingénieurs en informatique compétents.
Est-il plus facile de mesurer la pertinence d’une pub sur le Web ?
Quand bien même le traitement informatique des données serait facile, on a toujours su déceler leur pertinence grâce à des indicateurs conventionnels, comme le chiffre d’affaires, etc. Les likes peuvent bien être nombreux, mais ils n’assurent en rien le décollage des ventes.
Les AdBlocks contre la pub digitale
Les AdBlocks constituent un vrai fléau pour ceux qui se lancent dans le numérique pour faire la promotion de leurs produits/services. Si des mesures sont déjà prises pour interdire l’utilisation de ces applications ou pour la rendre payante, on ne s’attend qu’à un impact à court terme, au final.